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Toronto ’07 (and the continued saga of Xavier’s toddler bed)

I started the weekend like a star being escorted around; first Frank who saw me to the bus on his lunch hour on Friday, then my sister Karine was waiting for me when I arrived in Montreal, shared dessert at a café before bringing me down to the subway station where I was to meet with fv, before we made our way further into the subway transit, to be picked up by Tasha w/kids.

After their little man had been safely dropped off at grandma’s, and it was decided baby girl (who had gotten miserably sick, poor thing) would join the trip, we rolled our way into the late evening, toward Toronto, through much chatting, reflexions and kilometers. Our arrival at the hotel successfully concluded our day, where clean and oh-so-comfy beds engulfed us.

The tale of my weekend then, quite unevenly, slips over the main part of the trip – from Saturday morning until Sunday afternoon – in a « what happens at Debcon stays at Debcon » kind of spirit. I don’t know if this is an applied rule to the gathering, but in any case it’s difficult to describe or to sum up two days of, well… hanging out, really, with a bunch of great people. I’ll just note that good memories were made as fun stories, interesting discussions, a few drinks and lots of chocolate were shared.

Sunday afternoon was spent on the highway again with Mr, Mrs and girlie V., and after picking up the missing member of the V. family, I was dropped off at Karine’s place, where no one was home. Rats. I made my way to a pizza place, left a message with Karine and satisfied my stomach with nice pizza. Karine arrived exactly as my last bite was struck by my fork, and after some plans with her friend Audrey we were back on the highway, heading for home (mine, anyway).

Monday was a very useful free day of napping and cleaning, and now we’re back into the routine.

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On the home front

Frank, delighted new owner of an Xbox360, will probably not take the time off to post what was happening with Xavier and him while mommy was away, so I will try to jot down some of it according to his on-the-pillow report on Sunday night:

In a spin of awkward timing, an uncle and an aunt of mine (with her grandkid) came by our way while I was away, to help out my parents with some work on the house they’re building next to ours. Xavier got to play with my cousin’s son who is some years older, and apparently all this excitement had the little man reluctant to go down for a nap.

Frank put him down in his crib Saturday morning, went out and closed the door on an upset Xavier. Two minutes and some crying later, the door opened and our little man came out.

Apparently, he’d climbed out. Of his crib.

We knew, from last week’s experience, that he could indeed head out of the crib, but he hadn’t done it on purpose yet, so we could still have him sleep in there. This last time, however, served to prove our first born has now fully outgrown his baby nest, and we have to make the toddler bed work.

I mean, sure, the cushions we kept placing on the floor around his crib seem to have successfully prevented serious injury, as Xavier seemed unscathed by the fall and in fit shape to resume playing, but we’d rather he annoyingly gets up from his bed fifty times than he adopt the gymnast’s method of resisting nap time.

So it was that I discovered a little man in the toddler bed when I arrived late from my trip, the result of much efforts of forced adaptation on Frank and Xavier’s part throughout the weekend.

Monday night, on the other hand, was an enchanted night. Xavier was placed in bed after his evening bottle and slumbered into sleep without a sound. He slept well for most of the night, although we heard him cry and slide out of bed around 3h30AM; once silence was set again, I went to have a peep: our boy had most likely fell out of bed onto the pile of cushions lying around, but climbed onto his mattress again, where he lay in a ball on his tummy at the very foot of the bed, transversally, with his doggy tucked under his chest. I placed him back in a safer and more comfortable setting and rejoined my own bed.

Then at five AM, customarily to this last week, Xavier woke up and deserted his now rail-free resting place. From our bedroom door, we spied on him walking out to the living room, where he stood in front of the fish tank – it was still dark out, but we had forgotten the aquarium light on. He looked at the fish for some seconds, then cried « maman » once or twice. We thought he would make his way to our bed to wake us up, but apparently he remembered his doggy and pacifier, so he headed back to his bedroom and climbed back into his toddler bed. No further sound came.

WOOT!

Tonight did not follow suit, however, and it took Frank the best part of an hour to convince the boy it was nighttime.

Oh well. Growing up is a constant adaptation.
Trad. « Toronto ’07 (et la saga du lit de transition de Xavier, continuée) »

J’ai débuté la fin de semaine comme une star qui est escortée partout; d’abord François qui m’a déposée à l’autobus lors de son heure de dîner vendredi, puis my soeur Karine m’attendait à mon arrivée à Montréal, a partagé un dessert dans un café et m’a fait descendre à la station de métro où je devais rencontrer fv, avant que nous faisions notre chemin plus loin dans le système sousterrain du métro, pour être ensuite ramassés par Tasha avec les enfants.

Après que leur petit homme ait été sécuritairement déposé chez grand-maman, et qu’il ait été décidé que bébé fille (qui avait tombé misérablement malade, pauvre petite) se joindrait au voyage, nous avons roulé tard dans la soirée, vers Toronto, à travers beaucoup de placotage, réflexions et kilomètres. Notre arrivée à l’hôtel a conclu avec succès notre journée, où des lits propres et si confortables nous ont engloutis.

L’histoire de ma fin de semaine fait ensuite un bon plutôt inégal par-dessus la partie principale du voyage – de samedi matin à dimanche après-midi – à la façon « ce qui arrive à Debcon reste à Debcon ». Je ne sais pas si c’est une règle appliquée à la rencontre, mais de toute façon c’est bien difficile de décrire ou de résumer deux jours où l’activité principale a été de se réunir avec un groupe de gens sensas. Je noterai seulement que de bons souvenirs ont été fabriqués alors que des histoires amusantes, des discussions intéressantes, quelques verres et beaucoup de chocolats ont été partagés.

Dimanche après-midi fût passé sur l’autoroute encore avec Mr, Mme et fillette V., et après avoir été chercher le membre manquant de la famille V., j’ai été déposée chez Karine, où il n’y avait personne. Zut. Je me suis rendue à un resto, ai laissé un message à Karine et ai satisfait mon estomac à l’aide d’une bonne pizza. Karine est arrivé exactement comme ma fourchette visait ma dernière bouchée, et après quelques planifications avec son amie Audrey, nous étions de retour sur l’autoroute, en route vers la maison (la mienne, en tout cas).

Lundi fût une journée libre très utile pour se reposer et faire un peu de nettoyage, et maintenant nous sommes de retour à la routine.

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À la maison

François, le nouvel acquéreur réjouit d’une Xbox360, ne prendra probablement pas le temps de mettre en ligne les événements de sa fin de semaine avec Xavier lors de l’absence de maman, alors je vais tenter d’en relater une partie en me fiant à son rapport sur l’oreiller dimanche soir tard :

Juste comme j’étais absente, un oncle et une tante à moi (avec son petit-fils) sont venus dans notre coin, pour aider mes parents à compléter quelques travaux sur la maison qu’ils construisent à côté. Xavier a pu jouer avec le fils de mon cousin qui a quelques années de plus, et apparemment toute cette excitation a servi à rendre le petit homme mécontent d’être envoyé à l’heure du somme.

François l’a déposé dans sa bassinette samedi matin, est sorti et a fermé la porte d’un Xavier plutôt fâché. Deux minutes et quelques pleurs plus tard, la porte s’est ouverte, et notre petit homme est apparu.

Apparemment, il était sorti. De sa bassinette.

Nous savions, depuis la semaine dernière, qu’il pouvait plonger en dehors de sa bassinette, mais il ne l’avait pas fait par exprès jusqu’ici, alors nous pouvions encore l’y faire dormir. Cette dernière fois, par contre, a servi à prouver que notre premier-né est maintenant définitivement dépassé l’époque de son nid de bébé, et que nous devons nous débrouiller pour compléter la transition au lit de bambin.

Bien sûr, les coussins que nous plaçions en permanence sur le sol autour de sa bassinette semblent avoir prévenu avec succès des blessures sérieuses, puisque Xavier est ressorti de sa chute sans bobo apparent et en bonne forme pour poursuivre ses jeux, mais nous préférrons qu’il nous énerve en se relevant cinquante fois de son lit plutôt qu’il adopte la méthode du gymnaste pour résister à l’heure du dodo.

Alors c’est ainsi que j’ai découvert un petit homme dans le lit de transition quand je suis revenue tard de mon voyage, le résultat de beaucoup d’efforts d’adaptation forcée entre François et Xavier durant la fin de semaine.

Lundi soir, toutefois, fût une nuit enchantée. Xavier a été placé dans son lit après son biberon du soir et s’est doucement endormi sans un son. Il a bien dormi la majeure partie de la nuit, quoique nous l’avons entendu pleurer et glisser hors du lit vers 3h30am; lorsque le silence est revenu, je suis allée jeter un oeil : notre garçon avait probablement tombé du lit sur la pile de coussins tout autour, mais avait remonté sur son matelas, où il était prostré en petite boule sur son ventre, transversalement et tout au pied du lit, avec son toutou sous la poitrine. Je l’ai replacé dans une position plus sécure et confortable puis suit retournée à mon propre lit.

Puis à 5 heure am, comme à l’habitude cette dernière semaine, Xavier s’est réveillé puis a déserté son endroit de repos maintenant sans barreaux. Via la porte de notre chambre, nous l’avons espionné qui marchait jusque dans le salon, où il s’est tenu devant l’aquarium – il faisait toujours noir dehors, mais nous avions oublié la lumière de l’aquarium. Il a observé les poissons quelques secondes, puis s’est plaint « maman » une ou deux fois. Nous pensions qu’il viendrait vers notre lit pour nous réveiller, mais apparemment il s’est rappelé son toutou et sa suce, alors il est retourné dans sa chambre où il a remonté dans son lit. Plus un son.

WOOT!

Ce soir ne s’est pas déroulé aussi bien, toutefois, et ça a pris près d’une heure à François pour convaincre le bambin que c’était le temps du dodo.

Eh bien. Grandir c’est une adaptation constante.

6 commentaires sur “Toronto ’07 (and the continued saga of Xavier’s toddler bed)”

  1. What happens at Debcon stays at Debcon. Indeed. We’re all better for THAT!

    I think Baby Xavier is about the same stage Declan was at when we made the bed switch. And for the same reasons too. The head-first thumps onto the floor were difficult to take.

  2. PS – wicked-awesome bookmarks you left us with, Emilie! Thanks again for those. You should totally post pics of all six up here. Your grafix design skils are teh hawt!

  3. I’m glad you had fun in TO Emilie! It’s exciting to read about Xavier and his adaptations to the new bed. Sounds like you and Frank are doing a great job with the transition.

  4. Simon : The bookmarks were really meant as a limited edition thing. 😉 But more seriously, as I’ve used some images off the net to create them (and some quotes off the books), a limited and more artisanale distribution is best, I think.

    Tal : Toronto was a fun trip, yup! As I replied to you in my previous post’s comments, raincheck on catching lunch, but let’s do shopping when I’m in town again?

    Paul : I do.

    fv : Couldn’t have been in better company for all those kilometers (you guys sure were a step up from the christmas-knitting cat-lover from Halifax on the train two years ago).

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